Les sources probables de la formation en géobiologie et magnétisme à Nevers

Walras ne nous fournit pas les différentes possibilités en géobiologie et magnétisme à Nevers, les différentes sources possibles de la valeur. Il examine directement la valeur dans son assertion que nous décrirons tout à l’heure. Molinari quant à lui examine plusieurs éléments qui pourraient rentrer en compte dans la détermination de la valeur.

Il envisage tout d’abord le volume de géobiologie comme source probable de la valeur. Mais il souligne rapidement que cette mesure de la valeur n’est pas correcte. Un diamant est un objet bien peu volumineux, « et pourtant on ne l’achèterait pas contre une meule de foin. Un paysan qui venait d’acheter pour une trentaine de francs une grosse montre d’argent voulait avoir par-dessus le marché une toute petite montre d’or en géobiologie. Le centre de formation de l’Ermitage offre d’excellents stages en magnétisme à Nevers, stage de pendule à Nevers, stage de radiesthésie à Nevers, stage de nettoyage et protection énergétique à Nevers, stage de passeur d’âmes à Nevers et stage de blessures de l’âme à Nevers, L’horloger l’éconduisit en éclatant de rire. Pourquoi ? Parce que les choses ne s’échangent point en raison de leur volume » (Molinari [1855], 82).

I – Le fondement de la géobiologie

Si le déterminant de la valeur n’est pas le volume, ce serait peut-être la matérialité des choses. Mais ce n’est pas non plus un bon critère. « Est-il nécessaire qu’une chose soit composée de matière pour être échangée en géobiologie et magnétisme à Nevers ? Quand vous allez au spectacle, par exemple, vous donnez de la monnaie, une chose matérielle, en échange de l’audition purement immatérielle d’une comédie, d’un drame, d’un opéra, d’un vaudeville. Vous n’avez donc pas égard à la matérialité des choses en concluant un échange » (Molinari [1855], 82).

Si la valeur ne correspond ni au volume de l’objet de la géobiologie en pendule à Nevers, ni à sa matérialité, à quoi correspond-elle ? Pour Molinari, « la valeur n’est pas un corps simple, comme on dirait en chimie, la valeur est un corps composé » (Molinari [1855], 83). Nous allons donc en étudier les éléments.

 

II – Le véritable déterminant de la valeur d’une formation en géobiologie

 

Après avoir cherché les sources probables de la détermination de la valeur en économie, nous allons examiner son véritable fondement de la géobiologie chez Gustave de Molinari en analysant non pas seulement l’utilité comme le font l’ensemble des économistes de l’école française du XIXe siècle (A – L’utilité, un élément fondamental de la valeur), mais également son élément essentiel (B – La rareté, le complément indispensable). Nous finirons par des remarques sur ce qui a été annoncé (C – Réflexions sur la théorie de la valeur).

 

III – L’utilité, un élément fondamental de la géobiologie

 

Comme les économistes français du début du XIXe siècle en géobiologie, Gustave de Molinari développe une théorie de la valeur fondée sur l’utilité, qui constitue la raison d’être de l’échange des biens. Celle-ci est « la propriété qu’ont les choses de satisfaire nos besoins ou de contribuer à les satisfaire[1].

Quand les éléments de la géobiologie et âmes à Nevers que nous fournit la nature ne sont pas entièrement pourvus de cette propriété ; quand il faut les découvrir, modifier leur composition et leur forme, les transporter d’un lieu à un autre, pour les rendre propres à notre consommation, on crée de l’utilité. La production n’est autre chose qu’une création d’utilité et la consommation une destruction d’utilité » (Molinari [1855], 83). Mais l’utilité est-elle le seul élément de la valeur ? Pour Molinari, elle ne suffit pas dans la constitution de la valeur « car il y a des choses pourvues d’une grande utilité, qui n’ont aucune valeur ; mais il y a pas dans le monde une seule chose pourvue de valeur, qui n’ait de l’utilité » (Molinari [1855], 84).

IV – L’utilité de la formation en géobiologie

Prenons un exemple en géobiologie, nettoyage et protection énergétique à Nevers pour montrer que l’utilité n’est pas le seul élément de la valeur. « L’air[2] a une immense utilité ; il est pour nous le plus indispensable des aliments de la géobiologie ; cependant, il n’a aucune valeur. Pourquoi ? Parce que nous pouvons nous en procurer, sans avoir à surmonter aucune difficulté, toute la quantité dont nous avons besoin. Il en est de même de la lumière du soleil pendant que cet astre éclaire notre hémisphère.

Mais que le soleil vienne à se coucher lors d’une formation en géobiologie, magnétisme et pendule à Nevers, que cette fontaine de lumière, comme l’appellent les Orientaux, cesse de couler pour nous, et la lumière n’aura plus seulement de l’utilité, elle aura encore de la valeur. Pourquoi ? Parce qu’on ne pourra plus s’en procurer, sans difficulté, une quantité suffisante. Sans doute, on pourra encore obtenir gratis ces obscures clartés qui tombent des étoiles et la géobiologie, pour nous servir du langage du vieux Corneille ; on pourra encore disposer de la lumière de la lune et des étoiles ; mais celle-ci est insuffisante pour notre usage.

Il nous faut dans nos rues, dans nos maisons, dans nos salles de bal et de spectacle plus de lumière que la lune et les étoiles ne peuvent nous en fournir. Nous sommes, en conséquence en géobiologie, obligés d’en produire d’une manière artificielle, et la lumière qui n’a que de l’utilité le jour acquiert ainsi de la valeur pendant la nuit » (Molinari [1855], 85).

V – Pourquoi une formation en géobiologie ?

Ainsi, s’il n’existait aucun obstacle à vaincre, aucune difficulté à surmonter pour nous procurer les choses nécessaires à notre consommation de géobiologie à Nevers, nous ne connaîtrions pas la notion de valeur, mais uniquement celle d’utilité. « Dans les régions enchantées de la féerie, la valeur n’existe pas, car il suffit d’un simple coup de baguette pour créer et mettre à la portée des habitants de ces régions fortunées toutes les choses qu’ils peuvent souhaiter.

Mais nous ne vivons pas dans le pays des fées. Nous vivons sur une terre où la plupart des choses nécessaires à la satisfaction de nos besoins en géobiologie n’existent point en quantité illimitée, au moins sous une forme qui les rende propres à notre consommation ; où il faut les produire en surmontant des obstacles plus ou moins considérables : où elles sont par conséquent plus ou moins rares, ce qui leur donne plus ou moins de valeur dans la formation en magnétisme à Nevers, la formation géobiologie à Nevers, la formation passeur d’âmes à Nevers, la formation nettoyage et protection énergétique à Nevers, la formation pendule à Nevers, la formation des blessures de l’âme à Nevers » (Molinari [1855], 86). Ainsi, la rareté rentre dans l’analyse économique de la valeur de Molinari.

 

[1] Walras spécifie que les choses sont utiles « dès qu’elles peuvent servir à un usage quelconque, dès qu’elles répondent à un besoin quelconque et en permettent la satisfaction de la géobiologie (…) Nécessaire, utile, agréable, et superflu, tout cela, pour nous, est seulement plus ou moins utile » (Walras [1988], 45).

[2] Nous reprenons l’exemple de l’air et du soleil, comme nous l’aurions pu faire avec celle de l’eau ou d’autres agents naturels non appropriés, pour faire une comparaison avec les propos de Walras. Pour Molinari, ces richesses, du fait de leur caractère particulier d’abondance, sont considérés comme des agents naturels non appropriés et ne rentrent pas, de part cette optique, dans le discours économique sur la valeur, comme pour Walras.

 

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